Oui bien entendu!
En réalité l’automatisation des processus par la technologie est une thématique récurrente lors de nos design sprints, depuis de nombreuses années.
Les récentes avancées large language model (LLM) et de Chat GPT (pour n’en citer qu’un) offrent des opportunités immenses qui sont autant de possibilités de design sprints.
l’intelligence artificielle devient de plus en plus abordable, ce qui offre aussi de meilleures perspectives d’implémentation des concepts imaginés lors d’un design sprint.
Mais pourquoi au fait vouloir traiter d'une problématique d'AI lors d'un design sprint?
Aussi efficace que soient les AI, elles ne se designent pas d’elles-mêmes.
Avant de commencer à coder quoi que ce soit ou de jouer avec les API, mieux vaut savoir quoi faire et quelle va être l’utilité de l’AI:
- qu’est ce qui doit être automatisé?
- Si il y a des contenus générés, quelles vont être les règles? Les prompts?
- comment l’information doit elle s’afficher? Quelle sera l’interface?
- quel sera le « tone of voice » général?
- Y’a-il des problèmes éthiques?
- Sera-on en droit de le faire ou y-a il des problématiques juridiques?
- …
La liste des questions est sans fin.
En fait de prime-abord, l’AI nous donne l’impression de tout solutionner.
En vérité cela complique encore plus la création de tout nouveau produit ou service. Et ces questions doivent être réglées par des humains dès le départ du projet.
Le design sprint fait merveille dans ces phases d’avant projet. Pour débattre, s’aligner, prototyper pour poser les bases d’un futur projet ambitieux.
Le résultat du design sprint permettra de valider des hypothèses et servira de cahier des charges initial. Grâce au sprint, votre équipe saura répondre à toutes les questions fondamentales de votre futur projet AI.